Mien et sa Maitresse

*grommelle*
Toujours pas de nouvelles... Ma Souveraine cherche t-elle à mettre mes nerfs à rude épreuve ? Je l'ignore...
En tous cas, c'est long. Non pas que je me plaigne, hein.... non, non ! Juste, c'est long de rester comme ça sans savoir à quelle sauce on va être mangé. Et puis il y a la crainte, avec l'étiolement du sentiment de culpabilité (il faut bien le reconnaitre : quand la faute n'est plus vivace, on tend à 'oublier' sa gravité), de ne plus être tout à fait capable de bien gérer la punition choisie : compte tenu du fait que ma culpabilité s'est étiolée, ne vais-je pas être déstabilisé si la punition me parait exagérée par rapport à la gravité ressentie actuellement pour cette faute ? Ne vais-je pas ce faisant décevoir ma Souveraine encore plus ?
C'est difficile, mais je dois veiller à garder à l'esprit à quel point ma faute est grande, c'est un exercice très complexe, et le désintéressement apparent de ma Souveraine de la question me perturbe. Et puis il y a la dernière venue, la badine, qui semble réjouir ma Maîtresse - et tant mieux, j'aime voir ses yeux pétiller d'impatience... Dans quelle mesure ne fait-elle pas oublier à ma Souveraine la faute ? M'a t-elle pardonné, entièrement, parfaitement ? J'ai du mal à y croire. Peut-être est-ce parce que je n'ai pas la sensation d'avoir expié. Je suis un peu perdu...
Alors je me remémore les circonstances de l'incident, la déception si profonde et violente de ma Reine en constatant la faute... et...

j'attends...

Jeu 25 sep 2008 1 commentaire
Je sais que cette attente n'est pas facile, mais il me fallait plus de temps pour réfuter ta proposition de punition.
Dans les faits, tu es déjà puni par l'absence de Cravache.
Comme tu le dis, le temps fait s'émousser certaines choses...
Nous en discuterons plus avant de vive voix.
Maîtresse - le 25/09/2008 à 09h04