• : Les tribulations d'un homme au service de sa Souveraine.
  • Mien et sa Maitresse

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...rituels, objets du culte...

***mis à jour le 15/11/2009***

Rituels :

Les Rituels sont des instants plus ou moins spontanés, des règles établies, qui régissent le cours de ma vie d'esclave au service de ma Reine.
Certains semblent presque anodins : par exemple, lorsque nous vivions loin l’un de l’autre, je devais appeler ma Souveraine chaque matin au réveil, et chaque soir au coucher. A présent qu’elle m’abrite sous son toit, j’ai pour consigne de m’agenouiller à ses pieds humblement et de les embrasser s’ils sont nus, chaque fois que je quitte le domicile, et quand j’y reviens.
D'autres rituels sont encore plus chargés de sens : le plus significatif est probablement le rituel des
Serments, que nous avons écrits ensemble, et qui définissent notre relation. Nous avions choisi de prêter serment à échéance régulière (tous les mois), de façon à nous assurer que tout est toujours dans l'ordre de ce que nous souhaitons vivre ensemble. Ainsi, si l'un ou l'autre avait des doutes, des hésitations, ce moment permettait d'en parler librement et ouvertement, tout en se donnant l'opportunité d'une très grande complicité. Dans la pratique, nous nous sommes rendu compte que ce n’était pas forcément le meilleur vecteur de discussion, mais ces serments sont dits lors de dates anniversaires, ou de moments particulièrement intenses. Lorsque les Serments ont été prononcés, j'ai toujours une très forte envie de baiser les pieds ou les genoux de ma Souveraine... Nous avons également eu l’occasion de vérifier que ne pas dire les serments n’empêche pas la discussion, et de redéfinir régulièrement les termes de notre relation, pour notre bonheur mutuel et réciproque.
Il me semble important de préciser que nous avons écrit les Serments en ayant en tête la volonté de mêler poésie et engagements fermes : pour nous il n'était pas concevable de rédiger un 'contrat de soumission', car le terme, et la forme de ce genre de documents ne nous semblent pas correspondre à l'image que nous nous faisons de notre relation...

Objets du Culte :

Bracelet de Mien : je le porte cadenassé autour de la cheville, et n'ai pas l'autorisation de le retirer sans une raison valable, et surtout sans prévenir ma Souveraine... C'est le seul objet dont j'aie le droit de revendiquer la propriété : si ma Maîtresse me retirait le droit de porter mon Bracelet, cela signifierait qu'elle est tellement en colère qu'elle ne me considère plus digne d’être son esclave.

Le Livre
: ou plutôt les Livres ! J'en ai rempli un en 5 mois : environ 125 pages rédigées à la plume, dans lesquels je raconte à ma Maîtresse mes états d'âme concernant mon statut, les moments que nous avons vécus, les punitions reçues, celles que je demande, etc... C'est pour ma Reine un moyen de s'assurer qu'elle est toujours en phase avec mes besoins et attentes... Le second se remplit moins vite : à vivre ensemble, la discussion et la proximité rendent souvent peu utile l’écrit. Néanmoins, nombre de désirs difficiles à avouer, de fautes, et de descriptions de sensations continueront de s’égrener au fil des pages.

Le Collier
: ma Souveraine me l'a offert après quelques mois. Ce n'est pas un objet qui nous attirait pourtant au début, mais très naturellement il s'est imposé comme un élément indispensable de ma soumission. Il permet à ma Reine de me tenir en laisse quand elle l'estime nécessaire, ou encore de m'enchainer à un point fixe de l'appartement, pour s'assurer que je ne quitte pas les lieux par exemple. J'aime sentir que de cette manière ma Souveraine me montre son emprise sur moi et sur ma vie. Que même si elle quitte les lieux, je reste son esclave en son absence... Ma Reine m’a aussi offert plus récemment un Collier d’apparat : beaucoup plus beau, plus lourd, plus massif que le Collier, je n’ai la permission de le porter qu’en de plus rares occasions. Lorsque nous avons emménagé dans le nouvel appartement, ma Souveraine m’a permis de le porter pour sceller Son emprise sur moi dans ce nouveau cadre.

La Cravache: c'est un des premiers objets que ma Reine ait achetés. Ma Maîtresse ne prenait au début pas plaisir à en user, mais elle savait que mon dressage et mon éducation passent parfois par là. La Cravache ne servait donc qu’à la punition, et j’en redoutais très fortement l’usage car je savais que si ma Reine l’utilisait, c’était à contrecœur et que donc la faute était très grave… Au fil des semaines, ma Reine a cependant appris, je crois, à aimer jouer avec ma douleur, et l’usage de la Cravache n’est plus réservé qu’à la punition, mais peut intervenir dans des jeux, pour faire émerger ma part de masochisme…

J'aime la Cravache autant que je la déteste, pour la douleur si cinglante qu'elle m'occasionne parfois, faisant naître toutefois une forme de plaisir très cérébral que je ne sais pas expliquer.

 

La Badine : grande sœur de la Cravache, la Badine a été acquise peu après, et est très certainement à l’origine de la réconciliation de ma Souveraine avec son sadisme, et de moi-même avec mon masochisme. La Badine a très rapidement été assimilée aussi bien à la punition qu’au jeu, grâce à la variété d’utilisations et de sensations qu’elle permet, parfois toute en légèreté, parfois toute en violence… La Badine a ceci d’extraordinaire qu’elle est l’objet du culte qui a réveillé en moi non seulement mon masochisme, mais aussi une flamme au creux des reins qu’il est parfois long et difficile d’éteindre… *rosit*

Le Fouet
: ma Souveraine m'a aussi fait la surprise de faire claquer un fouet véritable à mes oreilles, alors que j'avais eu un comportement particulièrement déplacé. J'ai tremblé de peur qu'elle ne l'utilise sur moi. Je sais que cela arrivera peut être un jour... J'en suis à la fois terriblement inquiet et impatient... Les coups de ma Maîtresse, plus ils sont insupportables, plus je suis fier de les endurer pour elle. Je constate en écrivant ces lignes que dans l’appartement où nous vivons actuellement, il est tout à fait envisageable d’utiliser le Fouet… Inutile à ce niveau j’imagine de dire que j’en ressens autant d’appréhension que d’envie…

 

Ma tenue d’esclave : je ne suis pas certain que cette tenue fasse partie entièrement des Objets du Culte, mais elle fait partie de ma vie d’esclave, et j’y fais parfois mention dans ces pages, il me semble donc important de la décrire ici : il s’agit d’un ensemble noir boxer/t-shirt que ma Maîtresse m’a acheté. Elle est très moulante, car ma Reine l’a volontairement achetée légèrement trop petite, et la matière extensible moule complètement mon torse, mon dos, mes fesses, et bien sûr mon sexe. Cette tenue est celle que je porte en présence d’autres dominants, et que ma Maîtresse ne me veut pas nu. Je la porte également dans la maison, lorsqu’une attitude parfaitement soumise est de rigueur.

Les tenues de ma Maîtresse :
ma Reine sait divinement faire monter mon désir par sa simple tenue vestimentaire, lorsqu'elle a choisi de se montrer en dominatrice-femme fatale... Ses corsets, bas, et lingerie sont autant de moyen, elle le sait, de me rendre très sage et obéissant... Et pourtant, lorsqu'elle revêt de pareils atours alors que je me suis mal comporté, je sais que son courroux est d'autant plus grand...

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